Effroyable passage...

Elle le tirait toujours, il se demandait ou elle l'emmenait.. Soudain l'homme vit ce portail s'ouvrir, qu'est ce que c'était ? D'où ça venait ?
La femme le poussa à l'intérieur et il se sentit soudainement chuter...

Soudain il ouvrit les yeux. Apparament il les avait fermés.
Il regarda autour de lui. Quel était cet endroit ? Ou était-il ?
Ce décor lui faisait penser un peu au moyen age. Un chateau ? oui, ç en avait l'air, mais que faisait-il ici ?
Et cette jeune femme à coté, elle l'y avait amené mais par quel procédé s'y était-il retrouvé aussi rapidement ? Et qu'était ce cette sorte de porte...

L'humain secoua la tête, il était embrouillé. Il regarda interloqué Aphrosia.

- Mais.. Qu'est ce qu'il s'est passé ?

C'était un grand hall richement décoré. L'air y était frisqué mais aucune lumière autre que provenant des torches, n'éclairait la château. Tout était entièrement de bois ou de pierre. Un immense escalier de pierre brute menait au premier étage. Des tapisseries et des tableaux décorant de manière ancienne, le grand hall.
Aphrosia ne put s'empêcher de rire à grand éclats. C'était la première fois qu'elle emmenait un humain dans sa demeure. Jamais elle n'aurait penser qu'il serait assez naïf pour se laisser entrainer, n'importe qui se serait méfier ou enfuit dans le meilleur des cas.
La jeune femme n'aimait pas beaucoup traverser ses vortexs, elle se sentait son pouvoir se faire aspirer et détestait ça de peur qu'il ne revienne pas... Pourtant c'était le moyen le plus facile et le plus rapide pour voyager d'un endroit à un autre.
Les bras croisés, Benjamin toujours à terre, elle répondit:

" Tu as voyagé par un vortex."

Elle ouvrit les bras pour lui désigner l'endroit où ils se trouvaient, en un grand sourire et sur un ton enjoué, Aphrosia lui annonça:

"Bienvenue chez moi, en Enfer!"

L'homme hocha la tête, il ne comprenait pas... Un vortex ? Mais ça n'existe pas.. En enfer ? Etait-il donc en train de cauchemarder ?
Il se releva alors puis recula en dévisageant Aphrosia. Son rire le rendait nerveux.
Il reculait vers le grand escalier, prêt à s'enfuir au moindre problème.
D'une voix hésitante il demanda à la jeune femme.

- Qu'est ce que je fais ici.. ?

Son esprit s'embrouillait, il fallait qu'il parte.. Qu'il retourne chez lui.. Qu'il retrouve Marxelle aussi...

A grandes enjambées, Aphrosia s'approcha de sa victime. Pliant les jambes, son coude droit prit appui sur son genoux et elle se pencha sur Benjamin.

"Je t'ai proposé une promenade. Tu as accepté."

La chef des vampires s'amusait comme une petite folle. Un peu de divertissement, ça ne faisait pas de tort, surtout qu'elle en avait besoin. Elle lui tendit une main pour l'aider à se relever.

"Allons viens manger, après nous nous occuperons..."

Son sourire était plus grand et plus éclatant que jamais.

L'homme recula, il commençait à prendre peur. Lorsqu'elle lui tendit une main il hocha négativement la tête, affichant un regard inquiet.

- Non, merci... je n'ai pas très faim...Comment je peux rentrer chez moi ?

Il reculait toujours, lorsqu'il failli trébucher sur la première marche de l'escalier. Benjamin se rattrapa en posant les mains sur les autres marches dérière, il était à moitié à terre mais se redressa aussitôt, fronçant les sourcils en attendant la réponse de cette étrange femme.

"Rentrer chez toi? Mais tu viens d'arriver."

Elle approcha à nouveau, toujours un sourire au coin des lèvres. Elle lui saisi délicatement le menton.

"Nous avons le temps. Le temps en enfer s'écoule moins vite que sur Terre. Ne sois donc pas si pressé..."

Le tenant toujours par le menton, elle le força à se redresser.

"Je te conseille de prendre des forces. Tu vas en avoir besoin..."

En prononcant ses mots, Aphrosia s'était à nouveau approché du visage de Benjamin et ils n'étaient maintenant plus qu'à quelques centimètres l'un de l'autre.

Lui, qui n'était pourtant pas froussard... voila qu'il prenait peur devant elle. Mais cette femme était si étrange, elle lui paraissait effrayante, non pas physiquement, car elle était également très belle. Mais son allure, ses paroles et elle avait quelque chose qui faisait d'elle une personne effrayante.

Il se mit discrement à trembler lorsqu'elle lui tint le menton. Sentant le visage de la femme s'approcher, le garçon était tétanisé, ne sachant pas quoi faire. Il la laissa faire, avant de bredouiller.

- Non... laissez moi repartir chez moi...

Reprenant soudainement ses esprits il se dégagea et commença à reculer vivement, trébuchant pour de bon sur les marches, ses fesses touchant durements le sol.
Mais l'homme se releva, puis il tourna le dos à la femme pour grimper les escaliers le plus rapidement possible afin de lui fuir...

Aphrosia lacha le menton de Benjamin plus violamment qu'elle ne le souhaitait. Il commençait à l'énerver.

"Tu me déçois Benjamin. Je t'ai choisi parce que je te trouvais sympathique, sans arrières pensées ni trouille, différent..."

Il commençait à "s'enfuir" en montant les escaliers. Cela fit sourire intérieurement Aphrosia, mais seulement intérieurement car elle ne riait plus du tout.

"Où crois-tu aller comme ça?"

Lui cria-t-elle du bas des escaliers alors qu'il atteignait le premier étage.

"Tu oublies que tu es dans ma demeure!"

*Il me facilite la tâche en montant ainsi de lui même. Mais il est plus bête que je ne l'espérais*

Soudain, la jeune chef des vampires disparu, laissant place à une petite chauve-souris noire. Celle-ci vola jusqu'à Benjamin et s'arrêta juste en face de lui. Aphrosia réapparu.

"Ne me complique pas la tâche s'il te plait. Je trouverais ça bien domage. Si tout se passe bien tu rentreras chez toi. Je veux juste passer un bon moment..."

- C...Comment...

De plus en plus étrange... Le garçon ne comprenait pas, il sentait son coeur se serrer. Ce n'était pas un cauchemar, il l'avait comprit en ressantant la douleur lors de sa chute sur les marches. Avant de répondre à Aphrosia, le jeune homme calma son poux puis se mit à réfléchir.
*Reprend toi Benjy, tu es un homme... Je ne dois pas laisser paraître ma peur.*
Benjamin serra le poing, il n'était pas violent, mais il était prêt à la repousser si elle s'approchait trop près.

Reculant toujours, il sentit soudain le mur du couloir derrière lui. L'humain regarda la jeune femme devant lui, puis demanda d'une voix méfiante, la dévisageant.

- Qu'est ce que vous attendez de moi... ?

Aphrosia posa sa main gauche sur la poitrine de Benjamin, juste sur le corps. Celui ci battait la chamade. Elle ferma les yeux pour qu'il ne les voit pas devenir rouge. La chemise du psychiatre était trempée de sueur, le stress sans doute. Tout en laissant sa main posée elle lui dit:

"D'abord que tu te calmes. Je ne vais pas te manger! Enfin..."

Elle ôta sa main et effleura de celle de droite la joue chaude du jeune homme. Tout en la caressant, elle lui répondit:

"Prendre du bon temps. Après tout, n'est-ce pas le but d'une promenade? Je te l'accorde celle-ci est quelque peu spéciale pour toi mais ne doit-on pas pour autant s'amuser?"

Le garçon laissa la main de la jeune femme la caresser, puis il l'attrapa vivement.
Tenant ainsi son poignet il la dévisagea avant de répliquer.

- Je pense surtout que vous risquez d'aller un peu trop loin...

Il ajouta ensuite, sa main gauche tenant toujours fermement le poignet de la dame.

- Vous risquez d'être la seule à vous amuser...

Non, il n'allait pas la laisser lui faire Dieu savait quoi. Benjamin examinait l'attitude de cette femme. Avait-elle perdu un être cher ou subissait-elle un trouble psychique pour agir de la sorte ?

Mais lui, il ne comptait pas être la victime...

"Hé bien si tu en décides ainsi..."

De sa main libre, Aphrosia saisit à une vitesse surnaturelle la nuque de Benjamin et le fait quitter le sol. Ses yeux étaient à présent rouges et elle ne le cachait plus. Pourquoi l'aurait-elle fait? Elle lui avait laisser une chance mais il avait choisi de mourir.
La jeune chef posa délicatement ses lèvres sur celles du jeune homme puis se retira, le regard toujours injecté de sang. Jamais aucun homme n'avait eu l'audace de lui résister. Cela l'exitait tout en la tourmentant. Elle le reposa.

"Tu crois me résister l'humain? Combien de temps à ton avis?"

Cette action faillit décrocher un cri de suprise au garçon, mais celui-ci fut étouffé par la main se coinçant sur la gorge.
Par réflexe il porta ses deux bras à sa nuque dans l'espoir de faire lacher la jeune femme. Mais quelle était cette force ?
Ne pouvant rien faire, il ferma les yeux lorsqu'elle l'embrassa.

Benjamin fut ensuite reposé au sol, plié en deux, ses mains tenant son cou.
Il toussait en reprenant sa respiration.
Encore une fois elle l'avait appellé 'l'humain'.. Mais qui était-elle ?

Il leva la tête, le soufle encore coupé et le coeur haletant.
La dévisageant, il lacha en serrant un de ses poings.

- Laissez moi...

Il fit un pas sur le coté et joignit ses deux mains.
Fermant les yeux, une lueur blanche sortit de ses bras et vint s'interposer entre lui et la dame.
C'était une sorte de champ de force, qui empêchait quoique ce soit de venir jusqu'a lui.

Mais..Combien de temps cela durerait, et est ce que cela était résistant ?

Aphrosia éclata de rire à la vue du champ de force qu'il essayait de former.

"Allons arrête tes enfantillages. Même si celà te protège quelques minutes, comment penses-tu retourner chez toi?"

Elle s'accroupit pour être à sa hauteur. La lumière blanche entre eux l'éblouissant quelque peu elle ne s'approcha pas trop mais posa son genoux à terre. Approchant sa tête, elle le regarda dans les yeux.

"Si tu arrêtes de dire ça et de te comporter de la sorte, tout pourrait bien se passer. Je t'apprendrais la Vérité qu'aucun humain n'est sensé connaître..."

La jeune femme espérait atiser sa curiosité car elle avait envie de passer un bon moment avec lui, sincèrement et sans arrière pensée. Peut-être même, le laisserait-elle retourner chez lui, si tout allait bien...

Il venait de montrer son don à cette parfaite inconnue. Benjamin ne voulait pas retirer son pouvoir mais elle avait raison sur un point essentiel, ce n'est pas ça qui lui permettra de rentrer chez lui.

Il eut un mouvement de recul lorsqu'elle s'approcha, puis la dévisagea pour soutenir son regard.
Tout pourrait bien se passer ? Mais que comptait-elle donc faire ?
La dernière phrase d'Aphrosia fit hausser un sourcil de l'homme.
Quelle vérité ? Etait-elle folle ?

Après une longue minute de réflexion, il se détendit un peu et son champ de force disparut...
Benjamin regardait la jeune femme devant lui.

- C'est mon corps que vous voulez ?

Après tout, si cela pouvait arranger les choses sans qu'il n'y ai de casse, de blessé ou de dégat...

Aphrosia aurait pu éclater de rire à la question du jeune homme mais à la place elle restait le plus sérieuse du monde. Elle plongea son regard clair dans le sien. Il était séduisant, c'était certain, mais...

"Il est vrai que tu es à mon goût mais enfin, il n'y a pas que ça! Si je ne voulais que ça, crois moi bien que ce serait déjà fait!!"

Elle scruta d'autant plus sa réaction. Il avait baissé son champ de force ce qui signifiait qu'il acceptait un compromis. Mais allait-el le tenir ou encore faire l'idiot?
Le genoux toujours à terre, elle se rapprocha encore un peu de l'humain et le prit une fois de plus par le menton. Elle aimait beaucoup faire ça, allez savoir pourquoi...

"Passer du bon temps, c'est tout ce que j'ai dis."

Elle se releva doucement et une fois totalement debout lui dit:

"Allons, viens manger maintenant. Tu en auras besoin..."

Passer du bon temps... mais de quoi parlait-elle ? Benjamin ne comprenait pas ce que voulait cette femme. Elle semblait attirée par lui, pour cette manie de le toucher sans cesse, mais il ne la repoussa pas, pas cette fois.
Elle avait quelque chose de séduisant, de sauvage.

L'homme refusa assez poliment la proposition d'Aphrosia.

- Merci mais.. j'ai déja mangé..

Il sentait toujours la main de la jeune femme sous son menton, mais ne faisait rien, se contentant de la regarder...

Aphrosia n'apprécia pas qu'il refuse son invitation mais n'en montra rien. Il avait besoin d'être en forme. Après tout, comment pouvait-on s'amuser le ventre vide? Enfin... qu'il fasse ce qu'il voulait.
Le regard toujours plongé l'un dans l'autre, la jeune femme fini par s'en dégager et lui tourna le dos.

"Viens."

Ce n'était ni un ordre, ni une requête. Elle avait prononcé ce mot sur un ton de neutralité. Elle l'emmena dans les jardins de son château. A la base c'était une simple cour au centre du bâtiment mais elle l'avait fait aménager de telle manière que seuls les chemins étaient fait de pierres. C'était autre chose que le mini parc dans lequel ils s'étaient rencontré. La végétation était à la fois exotique et de milieu froid mais était luxuriante. Ces plantes donnaient un côté mystique et romantique. Le soleil, absent ici ne gâchait rien au côté intimiste. Ahprosia s'assit sur un banc ébène supposant que le jeune homme séduisant la suivait.

Afin de ne pas s'attirer d'autres ennuis et d'en savoir un peu plus, le garçon fit alors quelques pas pour la suivre.
Arrivé dans la 'cour', il contempla avec admiration la végétation autour. Jamais il ne voyait pareilles merveilles à New York, ces plantes étaient si bien entretenues...
Il supposa alors que Aphrosia devait aimer la nature, qu'elle devait passer des heures à s'en occuper.

La voyant s'assoire sur ce banc, l'humain la suivit et s'assit à coté d'elle, mais de façon à laisser le plus d'espace entre eux deux.

Aphrosia rit gentiment en voyant Benjamin s'asseoir le plus loin possible d'elle. Ne pouvant s'empêcher de pousser le vice, elle se retourna d'un bond vers lui écarta les bras et positionna ses doigts pour représenter des griffes, ouvrant la bouche de manière agressive dévoilant ainsi ses canines. Souhaitant faire peur au jeune humain, comme une gamine de 5ans l'aurait fait.
La jeune chef reprit son état normal et rit de plus belle à la réaction de Ben. Une fois qu'ils se furent calmés, elle posa une main sur le genoux de l'homme, plongea son regard dans le sien et lui dit:

"Alors? Qui est-elle?"

Toujours en laissant sa main, elle diminua le niveau du sérieux et ajouta:

"Elle est belle au moins!? Humaine?"

[c'est mon dernier post avant samedi 20, ça te laisse le temps Wink

Bonne semaine! biz]

[HRp : Arrrg... >_<....]

L'homme avait fait un grand bond en voyant cette femme si effrayante, il sentait son coeur battre la chamade, même lorsqu'elle reprit son état normal.
Comment avait-elle fait cela ? Des canines... Des griffes... Il ne put s'empecher de penser aux livres et films sur les vampires.
Et si.. Non, c'est impossible, cela n'existe pas.
Il se calma lorsqu'il la vit rire et se rassit.

Ses muscles se contractèrent lorsque la main d'Aphrosia se posa sur ses genoux. Il craignait qu'elle ne recommence son numéro.
Lorsque cette dernière parla, il ne comprit pas vraiment..

- Qui ?

Il ne voyait pas de qui elle voulait bien parler...

"Tu sais très bien qui!"

Elle déplaça la main posée sur son genoux, sur la poitrine du jeune homme, plus préçisément sur le coeur.

"Celle qui s'immisse doucement dans ton coeur. Je l'ai senti tout à l'heure."

Son regard toujours plongé dans celui de Benjamin, elle attendait qu'il lui confie la vérité. En fait elle n'avait aps vraiment besoin de l'entendre de sa bouche car elle le sentait mais préférait tout de même qu'il lui dise et surtout, quelle était la grandeur de la place qu'elle prenait.

[un pti dernier pour la route tant que je suis la xD]

L'homme se leva comme pour échapper à cette interrogatoire. Il regarda Aphrosia en fronçant les sourcils.

- Vous vous trompez de personne..

Non, il n'y avait aucune femme dans sa vie.
Marxelle ? Mais l'humain ne se rendait pas compte qu'elle l'attirait de plus en plus...
Tout ce que Benjamin savait, c'est qu'il n'aimait aucune femme pour le moment.

Aphrosia lui lança un regard suspicieux. De toute évidence il ne voulait pas lui dire. Cela aggaça la jeune vampire. Mais peut-être ne s'était-il pas encore rendu compte de la place qu'elle commençait à prendre... les morceaux de son coeur qu'elle grignotait doucement...

"Dans ce cas... il n'y a aucune barrière..."

Si ce qu'il prétendait était vrai, il se laisserait faire. Tout au contraire s'il esquivait cela signifierait qu'il avait menti... Aphrosia se leva et se plaça à sa hauteur. Elle déposa à nouveau un baiser mais insista.

Oui, elle aussi l'attirait... Ces deux femmes avaient quelque chose de spécial.
Aphrosia était plus que séduisante, c'était une magnifique femme qui savait ce qu'elle voulait, et son assurance desabilisait Benjamin.
Cependant, Marxelle avait ce petit quelque chose d'angélique qui plaisait beaucoup à l'homme. Elle l'avait charmé et embrassé sans le forcer, il se sentait à l'aise et bien avec elle.

Lorsque les lèvres de la dame se posa sur les siennes, le garçon la laissa faire. Mais lors du contact, l'image de Marxelle parvint dans son esprit.
Un sentiment de culpabilité l'envahit, mais il chassa ses pensées. Non.. Il n'avait pas à s'en vouloir, il n'était pas son petit ami...

L'homme ferma les yeux pour savourer ce baiser mystique, il ne la connaissait pas... Elle lui faisait peur, mais il se sentait impuissant, et cela ne lui était pas si désagréable.
Benjamin sentit sa respiration s'accélérer, jusque ici les femmes qui avaient voulu l'embrasser, il les avaient repoussées gentiment en employant des mots bien placés et réconfortants pour ne pas leur faire de la peine.
Mais là, il n'avait pas la force de repousser cette femme, il ne le voulait pas non plus...

Le psychologue gardait les yeux fermés, quelque chose clochait dans cette scène, mais il n'arrivait pas à déterminer quoi...

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