Eyaël ¤ Séraphin de la Sagesse
Nombre de messages : 42 Statut : Date d'inscription : 01/02/2008
Feuille de personnage Race: ange Grade: Séraphin de la Sagesse Autre:
| Sujet: Eyaël, séraphin de la sagesse Sam 2 Fév - 14:42 | |
| (pardonnez cette fiche médiocre, mais je l'ai faites en toute hâte, et pas d'inquiétude, l'histoire arrive)
Prénom : Eyaël
Race : Ange
Age : 117
Sexe : masculin
Grade : Séraphin
Armes :Daiichi
Pouvoirs: pourvoi de soin et ainsi de contrer certaines altération d'états.
Fonction : Séraphin de la Sagesse
Description physique :
Parmi les anges, Eyaël pourrait être considéré comme un « géant ». En effet, de par sa stature imposante, le séraphin de la sagesse dépasse le plus souvent la plupart de ses congénères d’une bonne tête et fait le double d’eux en largeur. Autant le dire, Eyaël ne passe pas inaperçue. Néanmoins, si à première vue sa stature effraye la plupart de ceux qui osent lui parler, le séraphin de la sagesse est en réalité un ange affable et simple, qui ne prends pas partie de son physique pour écraser les autres. Mais ne s’y trompons point, si Eyaël est un ange paisible et le plus souvent doux, ses colères n’en sont que plus terribles et rares sont ceux qui ont survécus à ces « coups de colères » devenus célèbre sur tous Celestia. Lors de ces fameuse colères, ces cheveux châtains, mi-longs, de l’ange se mettent à virevolter en tout sens, formant une sorte de crinière tandis que ses yeux bleus clairs remplie d’intelligence brillent d’un éclat meurtrier. Son visage fins et bien dessiné, impassible, reflète alors la fureur dans laquelle se trouve le séraphin de la sagesse. Un trait barre son front et un tic agite convulsivement ses lèvres porteuses d’une parole destructrice. Lors de ses apparitions officielles a sanctuaire, ou lorsqu’il est en mission, Eyaël revêt son impressionnant armure d’or et d’argent. Des motifs de formes divers sont gravés sur les épaulières et le plastron en or de celle-ci ; un ceinture, richement décorés entoure ses haches sur lesquelles reposent une lourde épée dont Eyaël ne se sépare jamais. Un rubis est incrusté sur le haut de son plastron et brille d’un doux éclat rougeâtre. Des jambières en argent protégent ses jambes tout en lui laissant une liberté de mouvement suffisante pour parer et esquiver efficacement toute attaque. Néanmoins, cette armure, si elle en impose, n’est pas très pratique pour les charges quotidiennes dont s’occupe le séraphin de la sagesse. Aussi, lorsque aucune raison ne justifie le port de vêtement d’apparat, Eyaël porte simplement une tunique blanche, brodée de motifs bleus, serrée à la taille par une ceinture en cuir où Daiichi sa fidèle arme est toujours glissée.
Caractère : Taciturne serait le terme pour définir Eyaël. Le séraphin de la sagesse à toujours l’air absent, comme si le monde ne lui offrant pas ce dont à quoi il aspire: il cherche un échappatoire dans le rêve. Mais si le séraphin de la sagesse donne cette impression d’être rêveur, c’est loin d’être le cas dans la réalité. Eyaël enregistre le moindre petit détail avec un soin minutieux, et sous ses airs négligents, se cachent une intelligence hors du commun et une sagesse remarquable. C’est d’ailleurs grâce à sa façon de voir les choses, presque fataliste, qui l’avait élevé au rang de séraphin de la sagesse. Eyaël est aussi doté d’un sang froid impressionnant, qui lui a servit plus d’une fois à se servir de situations délicates. C’est aussi grâce à la distance qu’Eyaël à avec le monde qu’il peut rester calme et objectif en toute situation. Mais cette mentalité lui vaut souvent des remarques de ses congénères qui le trouvent trop léger dans son attitude et dans sa façon de penser. Ce qui n’a jamais réussit à faire changer d’un poil le séraphin qui plane bien au-dessus des remarques futiles d’êtres qu’il trouve plus stupides qu’autres choses à s’encourager entre eux pour leurs œuvres médiocres sans aucune portée artitisque, où sans même une quelconque utilité. Mais si le séraphin de la sagesse possède un esprit d’une rigueur et d’une logique à toute épreuve, Eyaël possède aussi un côté extraverti et romantique. Ainsi, Eyaël adore se promener dans le paysage angélique en rêvant à une autre vie bien plus attirante que celle qu’il menait. Car avant tout, avant d’être séraphin de la sagesse, couvert de responsabilités écrasantes, Eyaël est d’abord un ange banal et sensible.
Donne des conseils aux Anges. Travaille avec Raziel.
Histoire :Enaïa observa d’un œil critique les élèves qui lui faisaient face. Un sourire fugace passa sur son visage. Pour une fois tous les chérubins qui lui faisaient faces étaient bien disciplinés et semblait même s’intéressait à ses actes. L’ange voulut prendre la parole, lorsque son regard s’arrêta sur un élève qui, les yeux perdus dans le vide, semblait ne prêter aucune attention à l’instructeur. Son sang ne fit qu’un tour et il s’écria :
-Eyaël ! Arrête de rêvasser et écoute un peu ! Tu n’es pas ici pour rêver, encore moins pour t’amuser.
Le dénommé Eyaël, un chérubin étonnement grand et musclé pour son âge avec de longs cheveux couleur châtains et des yeux fascinant d’un bleu de nuit où brillait une lueur farouche, sursauta, brusquement interrompu dans son doux rêve éveillé. L’instructeur, hors de lui, s’avança vers le fautif et se planta en face de lui, l’air terrible. Eyaël, loin d’être impressionné par le regard fixa son maître dans les yeux. Pendant un instant, les deux anges se livrèrent un combat sans merci. Enaïa détourna les yeux le premier, vaincus par le regard pur d’Eyaël. Excédé, l’instructeur poussa un soupir de dépit, puis lança brutalement:
-Va t’en Eyaël, je ne veux plus te voir ici. Tu ne fais rien d’autre que me gêner ainsi que tes camarades.
Sous les regards de ses camarades, Eyaël obtempéra silencieusement. Il ouvrit la porte de la salle d’entraînement qui glissa sans grincer, se retourna et dit poliment :
-Au revoir monsieur.
Anaïa ne lui jeta même pas un regard et le chérubin, honteux d’avoir été proprement viré de son entraînement referma la porte derrière lui.
Eyaël s’adossa tristement à un mur. Pourquoi ne le laissait on pas tranquille ? Il ne faisait pourtant rien de mal. Il était loin d’être chahuteur comme certains, et, s’il n’écoutait pas les paroles de son professeur, il ne dérangeait personne. Ca n’était tout de même pas de sa faute si il était rêveur. C’était sa nature ; il ne pouvait pas la changer, quoiqu’en dise ses professeurs. Tout en contemplant les reflets scintillants du soleil dans la rivière qui coulait non loin de là, Eyaël se mit à penser qu’il était différent des autres anges. Qu’il n’était peut-être même pas un ange. Cette pensée le remplit de désespoir. S’il n’était pas un ange il devait être…un humain. Le jeune ange secoua la tête. C’était impossible. Comment pourrait il être un humain puisqu’il possédait des ailes ? Mais le doute s’était insinué en lui. Horrifié de pouvoir être un « vulgaire » humain, Eyaël fondit en larme. Les larmes. Longtemps le jeune ange pleura sur sa peine. Comme hors du temps, Eyaël ne sentit pas l’air fraichir, annonçant le début de la nuit, ni même la douce brise ébouriffé ses cheveux ; seul importait sa tristesse. Dans ces pleurs continuelles et remplis d’une profonde douleur s’exprimaient les sentiments trop longtemps refoulés qu’Eyaël exprimait ici. Bien plus tard, lorsque ses larmes se furent enfin tarit, Eyaël s’essuya les yeux rougis par les larmes et prit, hésitant, le chemin de sa maison. L’ange avait prit une résolution inébranlable : Jamais plus il ne serait ainsi humilié, jamais plus il ne douterait. Eyaël se sentit vieillir de dix ans. Cette nuit là, sous le doux éclat de la lune scintillant immarscessiblement dans le ciel, quelques choses était mort à l’intérieur d’Eyaël.
Pendant les années qui suivirent, Eyaël travailla avec ardeur et application. Avide de savoir, le jeune ange passait des heures à étudiait sans négliger pour autant l’art arts de la guerre. De nombreuse heures il étudiait les mathématiques, la stratégie, l’art d’écrire et de parler, et il s’adonne à sa grande passion : la philosophie. Il lut les nombreux œuvres qui étaient disponibles, mais, insatisfait par le fruit de ses recherches, Eyaël s’attaqua secrètement à la philosophie humaine. Ainsi, il lut Platon, Aristote, Cicéron, sans oublier les philosophes des lumières Voltaires, Rousseau, Diderot, Montaigne. Le regard de l’ange sur les humains changea après avoir lut ses textes. Les humains n’étaient pas si grossier qu’il l’avait crut et nombre de leur texte était plus pertinent que ceux écrit par des anges soi-disant savant et sages. Puis, après avoir s’être nourrit de tout ses philosophes, Eyaël se mit à faire se propre philosophie, et se mit à écrire ses thèses dans un carnet qu’il garda secret et ne dévoila jamais à personne. C’était son secret, et il n’avait aucune envie de la partager avec les personnes qu’il considérait comme avare et cupide.
Le fruit de son labeur ne se fit pas attendre : à l’âge de trente-sept ans, Eyaël fut nommé archange. Mais, sans s’enorgueillir de son titre comme le faisait les autres anges, Eyaël continua de travailler avec assiduité et acquis ainsi des connaissances vastes concernant non seulement le monde angélique, mais aussi le monde humain et les enfers. Seul le monde elfique ne l’intéressait pas. Il ne trouvait aucun attrait à ce monde qui, d’après les écrits était en perdition. Délaissant donc cette partie de l’humanité, Eyaël vit avec désespoir qu’on l’envoyait de plus en plus souvent en mission. Cela aurait dut le contenter : Ainsi, il se rendait utile à Dieu. Mais cette perspective n’enchantait guère Eyaël. Il aurait de loin préféré rester sur Celestia a étudier la philosophie où l’art de la guerre. Car si la passion d’Eyaël restait la philosophie, il trouvait dans le combat une forme d’art où il pouvait défouler son trop plein d’énergie. Peu à peu, Eyaël vit son nom se répandre à travers Celestia, non seulement pour ses « coups de colère » mais aussi pour sa grande sagesse et ses vastes connaissances. C’est grâce à cette réputation et à son travail acharné qu’Eyaël fut convoqué au sanctuaire du Tout-Puissant.
L’ange s’envola de sa retraite aussitôt après avoir reçut l’ordre de se rendre au sanctuaire. En cheminant, il s’était demandé pourquoi Dieu en personne voulait lui parler. C’était chose rare, et un véritable honneur que lui faisait la le Tout-Puissant. Mais cela pouvait tout aussi bien ouvrir des perspectives effrayantes. Peut-être avait il commis un acte répréhensible et Dieu le convoquait pour lui administrer une punition exemplaire. L’archange chassa cette pensée de son esprit. Il n’avait rien de fait de mal, c’était certains ; du moins, pas volontairement. Perdu dans ses pensées, Eyaël n’avait pas vu le temps passé. Déjà la silhouette imposante du sanctuaire se découpait à l’horizon. Lange sentit un frisson d’excitation le parcourir. Il parvenant enfin au terme de son voyage, certes court, mais terriblement ennuyeux. Eyaël accéléra le battement de ses ailes, et parvint en quelques instants à rejoindre le sanctuaire. L’ange se posa doucement sur le sol marbré sans aspérité aux reflets bleutés. Un messager s’enquit de ce qu’il venait faire au sanctuaire. Eyaël lui répondit :
-Je ne sais pas ; le Tout-puissant m’a convoqué pour une raison qui m’est inconnue. Je suis donc venu le plus rapidement possible.
Le messager tiqua, grommela quelques choses d’incompréhensible, puis dit à l’ange d’une voix bourrue :
-Suivez-moi, je vais vous conduire jusqu’au Tout-puissant.
Et, sans même se préoccuper de savoir si Eyaël le suivait, le messager tourna les talons et se mit en marche d’un pas vif. L’ange le suivit à travers les salles luxueusement décorées du sanctuaire. Les deux anges finirent par arriver devant une porte gigantesque. Des arabesques compliqués, gravées sur la lourde porte, s’entrelacées formant des motifs impossibles à suivre du regard. Eyaël connaissait bien le sanctuaire pour y avoir passé de nombreuses années, mais jamais il ne s’était aventuré jusque cette porte. Le messager s’arrêta et invita Eyaël à faire de même. Au même instant, la porte s’ouvrit, mais ce n’était pas le Tout-puissant qui se tenait dans l’embrasure de la porte –bien qu’Eyaël avait deviné que le Tout-puissant ne se déplacerait pas pour lui, cela l’aurait d’ailleurs dérangeait- c’était un ange d’allure banal. Cet ange, s’il paraissait banal d’apparence, dégageait une aura de confiance et de paix qui apaisa l’esprit en ébullition d’Eyaël. L’ange prit la parole d’une voix douce, tout en souriant :
-Archange Eyaël je suppose ?
Eyaël mit quelques instants à comprendre que le porte parole de Dieu (car il s’agissait d’un porte parole) s’adressait à lui. D’une voix étonnement hésitante, l’archange répondit :
-Oui, c’est bien moi. Je suis venu ici sous l’ordre du Tout-Puissant.
-Soyez le bienvenue. Dit l’ange de la même voix calme et douce que précédemment. Le Tout-puissant m’a chargé de vous annoncez une nouvelle qui à mon humble avis vous remplira de joie.
Le porte-Parole sourit, et après un petit silence ajouta :
-Voila, le Tout-puissant à décidé de vous nommez Séraphin de la sagesse. Il pense que ce poste vous ira à merveille au vue de votre savoir et de votre réputation de sage.
Eyaël n’en crut d’abord pas ces oreilles. Lui Séraphin de la sagesse ? Le porte-parole devait se tromper. Mais voyant l’air sérieux de l’ange qui lui faisait face, Eyaël comprit que l’on ne se fichait pas de lui. Alors, il tomba à genoux et dit à l’ange :
-J’accepte avec humilité le post que me donne le Tout-Puissant. Je remercie sa bonté et lui assure que je ferais de mon mieux pour assurer la place qu’il me donne.
Le porte-parole eut un sourire entendu, et un air de bienveillance passa sur son visage. De nouveau, sa voix résonna dans le sanctuaire :
-Alors qu’il en soit ainsi. Je transmettrais vos paroles au Tout-puissant tels qu’elles ont été dites.
Sur ce, l’ange tourna les talons, et disparut dans la pièce qui se trouvait dans son dos, laissant les portes se refermés derrière lui. C’est ainsi qu’à 89 ans, Eyaël devint Séraphin de la sagesse, atteignant le plus haut rang de la hiérarchie angélique.
Continuant ses travaux philosophiques ayant pour objet d’études le comportement des anges et de leur société, Eyaël se retira alors de la vie public de Celestia, pour mener une vie plus recluse tout en continuant à servir le Tout-puissant de manière efficace, fidèle à son poste de Séraphin de la sagesse.
Dernière édition par le Dim 3 Fév - 21:41, édité 4 fois | |
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Fenris ¤ Ancienne gardienne de la porte céleste
Nombre de messages : 678 Age : 35 Statut : Date d'inscription : 26/06/2007
Feuille de personnage Race: Ange Déchue Grade: Dirigeante des Forsaker Autre:
| Sujet: Re: Eyaël, séraphin de la sagesse Sam 2 Fév - 15:30 | |
| Petite réflexion, sur ce que tu as déjà écrit. La durée de vie des anges est de deux cents ans. Donc soit ton ange est super vieux et sur le point de mourir à cause de son âge, soit tu t'es planté dans la descrition. Pour le reste, je ne vois pas trop d'erreur pour l'instant, et ce que j'ai lu de ta fiche me plaît donc bonne continuation pour faire l'histoire de Eyaël. | |
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Benjamin Gates ¤ Psychiatre
Nombre de messages : 147 Age : 33 Localisation : New York Armes : Ses poings Pouvoir : Ressent les émotions des gens pour les comprendre. Statut : Date d'inscription : 09/09/2007
Feuille de personnage Race: Humain Grade: Psychiatre Autre: Trés compréhensif, sociable et solidaire.
| Sujet: Re: Eyaël, séraphin de la sagesse Dim 3 Fév - 22:35 | |
| Welcome l'ange ! *dans la même longueur d'onde que Drake* Si tu te sens mal dans ta peau où si tu as des doutes quels qu'ils soient, passe me voir ! xD Ben le psychologue | |
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Anaëlle ¤ La Féline Blanche
Nombre de messages : 280 Age : 33 Localisation : Chez Lulu :D Armes : Fouet Pouvoir : Illusioniste. Statut : Date d'inscription : 13/05/2007
Feuille de personnage Race: Elfe Grade: Vagabonde Autre: Un charme intense, inexplicable et sauvage entoure son incroyable beauté.
| Sujet: Re: Eyaël, séraphin de la sagesse Dim 3 Fév - 22:53 | |
| Bienvenu ! Moi j'ai rien à te proposer, à moins d'une petite compagnie durant une nuit si ça t'chante... Moi j'aime pas les anges, ça fait toujours la morale et ça n'aime pas les fauteurs de troubles... | |
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